L'écriture et la Photographie

Je te déteste voici
les dernières paroles que je t’aie dit, Sur ce lit d’hôpital je t’ai laissé
seul.. Les yeux rempli de larmes je me suis éloignée de cette chambre,
de toi… Jamais je ne me pardonnerai cette phrase ces mots, ces actes d
e haines, parc que je savais que tu allait m’abandonné, pourtant trop petite
pour savoir ce qu’étai la mort.. au fond de moi je savais que je ne te reverrai
plus.. Arrivé a la cafétéria du Chuv, j’ai vu tout c’est médecins s’affolé a coter
de moi, je les voyaient passé au ralenti, sans comprendre pourquoi tan d’agitation,
et j’ai entendu ce nombre : 156 et j’ai su que c’étai la tienne, ta chambre… J
’ai couru au si vite que j’ai pu, remonté c’est escalier en courant, tombant a
plusieurs reprise. Je suis arrivé en haut, ma mère et ma grand-mère n’étaient
pas encore la, rentré dans ta chambre a ce moment la à été a véritable combat,
ne pas savoir ce qu’on va voir… est horrible.


Et je vois plein de médecin qui t’entoure toute c’est machine qui me font
peur encore aujourd’hui.. et j’entend cette voix, ce n’est pas la tienne
d’ailleurs elle ne m’ai pas familière Cette voix prononce : heure du décès … 10h40.
As ce moment la, je n’ai plus rien vu, plus rien ressenti, j’ai juste couru vers toi,
pour si ce que disait cette homme en blouse blanche étai vrai. Et tu ne pas
répondu… me laissant glissé du lit jusqu'à a que je tombe sur mes genoux.

Je pleurai, a ne plus pouvoir respirer, je répétai pardon, pardon, pardon…
une main passa dans mes cheveux, mais je ne relevais pas la tête, cette
personne ce mit a genoux a côté de moi, c’étai ton compagnon de chambre,
il ma dit que tu ne m’en voulais pas, que tu lui avait dit que je m’était emportée
mais que je ne le pensai pas. Têtue je me suis tournée vers ce monsieur, et lui a
dit que c’étai pas vrai.. et je suis partie en courant, bousculant ma mère
au passage, il fallais que je sorte de cette hôpital, je ne pouvais plus respirer, je n
e voyais plus rien. A cette instant présent j’ai cru mourir. Cette partie de moi
qui n’était qu’a toi est partie au même moment que
toi. Sans toi c’est plus pareil. La vie est nul est banal,
Toi est seulement toi Contait pour moi.



Je t’aime
Grand-papa…